Trollistes & Compagnie Jeux de Rôles, de sociétés, cartes et figurines (Association) |
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| Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. | |
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Spinster Dragon noir du plutonium
Nombre de messages : 304 Age : 32
Feuille de personnage Jeu de Rôle: Fallout Nom du Perso: Arthur Miles
| Sujet: Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. Lun 19 Aoû 2013 - 23:51 | |
| En 1959, le monde tel que nous le connaissons évolue à une vitesse folle : le Mali vote une constitution, l'Alaska et Hawaii rejoignent l'état Américain, l'association de libre échange européen est créé... Mais dans toute cette agitation planétaire, il se pourrai que, à l'échelle de l'Homme, il faille se concentrer sur les océans, sur une cité sous marine que seuls quelques privilégiés connaissent : Rapture. Fondé par Andrew Ryan après le bombardement de Hiroshima, Rapture représente un havre utopique de société enclavé où il n'existe aucune censure, aucune morale et où l'on a que ce que l'on mérite. Malheureusement, l'homme est malléable et la découverte de l'Adam, une substance généré par un mollusque inconnu de la surface pouvant modifié l'ADN humain, et la création des plasmides, le produit final de mutation, à transformer la cité sous-marine en foire des monstres. Tirant des boules de feu, créant des arcs électriques, maîtrisant la télékinésie, les chrôsomes, des consommateurs excessifs de plasmides, créèrent un climat de guerre civile calqué sur une guerre à l'armement individuel. Les chrôsomes déferlaient sur Rapture comme la peste sur le monde, fouillant chaque recoin de la cité pour trouver les Petites Soeurs, ces petites filles aux yeux fluorescents, seules maîtresses de l'Adam, et leur dérober leur bien. Mais la nature est bien faite, car ces fillettes sont protégées par des colosses de deux mètres, en combinaison de plongé sous marine avec, à leur bras gauche, une foreuse pouvant percer la chair et les os; les Grands Frères. Bien loin de ces préoccupations primaires mais vitales, les Enfers, centre de rétention permanent de Rapture pour les sujets les plus... Déviants de l'idéologie de Ryan, accueille un curieux événement : le Styx, sous-marin faisant la navette entre ce lieu isolé de tout et le tronc principal de Rapture, s'enfonce dans les eaux sombres du Pacifique, accompagnant une curieuse alarme. Fabrice, clandestin n'ayant vu qu'une bribe de son rêve de liberté; Nicolas, mécanicien en charge de la maintenance, un peu brutal et William, politicien un peu trop déviant pour Ryan, découvre ce spectacle avec effroi et incompréhension. Soudain, la porte souffle et, tel un rideau de théâtre se mouvant au ralenti, laisse découvrir aux quelques vingt prisonniers une foule, armée de clef anglaise géante ou de barres de fer, prête à fondre sur eux, hurlant des choses informe comme "ON VEUT DE L'ADAM !". - Des dents ? Mais pourquoi ils veulent des dents ? S'exclame alors William. Ce fût la dernière parole sensé de ce spectacle ignoble où les uns cherchent des choses impalpables, les autres cherchant à survivre. Par un coup de force, ou de génie, nos trois compagnons d'infortunes arrivent à se glisser dans le Styx, avec huit autres comparses, entamant un voyage retour teinté d'espoirs nouveaux. Le voyage, en automatique, se passe sans encombre; même si quelques images viennent perturber l'ensemble : la cité est à feu et à sang. Malgré l'obscurité ambiante percé par des néons surpuissant, l'on peut observer du sang sur les fenêtres, des fracas de lumières vive laissant le loisir à l'imagination collective d'imaginé le bruit tout aussi court mais bruyant accompagnant un coup de feu. Bientôt, le vaisseau entre dans un long tunnel, s'arrête et libère ses passagers une fois le sas rendu viable pour les terriens. Ainsi commença le véritable enfer de Rapture. En nombre trop important pour être discret mais non armé, de quelque façon que ce soit, les rescapés des Enfers se séparèrent en deux groupes; nos héros d'un côté, les autres de l'autre. Le silence, l'acier, la peur; voici comment nous pourrions décrire cette suite d'aventure au sein du contrôle central de Rapture, première étape pour les évadés dans leur quête de survie. Il fut décidé qu'aller voir Andrew Ryan, le maître des lieux, serai une bonne idée afin de s'armer et, surtout, d'entrevoir un avenir. Mené par Nicolas, la montagne de muscles connaissant Rapture comme sa poche, la progression fût assez simple et sans réel danger, jusqu'à ce tunnel de verre reliant deux bâtiments, séparant les hommes de plusieurs kilos-tonnes de pression. En effet, même si la cité fût spécialement aménagé pour perduré le plus longtemps possible sans aide extérieur, une micro fuite était à signalé sur une des parois, laissant filtré, goutte à goutte, une eau glaciale et messagère de mort. N'écoutant que leur courage, William, Fabrice et Nicolas coururent au sein du tunnel pour atteindre l'autre côté avant une éventuelle catastrophe. Grand bien leur fasse car ils croisèrent une commande de sécurité pouvant isolé le tunnel du reste de la structure. Mais comment l'actionner sans être dans le tunnel ? Tel était que se posait le politique et le mécanicien, alors que leur compagnon clandestin continua sa route, négligeant la furtivité et ce qui gisait au sol. Des cadavres, des dizaines de cadavres. Tous broyés contre un mur, dans des positions douteuses vis à vis de la physique classique. L'un d'eux aurait même découvert les joies de l’éviscération. Une solution fût trouvé entre William "La tête" et Nicolas "Les muscles" : arraché un bras à un des défunts pour allonger la portée du leur afin d'actionner la commande à une distance raisonnable des portes. Pendant ce temps, au détour d'un couloir, Fabrice "Les jambes" entendit le chant mélodieux, mais aussi inquiétant, d'une petite fille cherchant un nouveau jeu pour elle et "les lucioles"... [Si cela ne vous dérange pas, j'écrirai la suite et fin mercredi soir. En attendant, je vous laisse imaginer les diverses choses qui ont pu se passer ] | |
| | | Harleen Quinzel Maître des Arcanes
Association : Enfants de R'Lyeh Nombre de messages : 1426 Age : 34
| Sujet: Re: Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. Mar 20 Aoû 2013 - 8:23 | |
| Héhé, sacrée plume que tu as là ! La partie avait l'air bien sympatoche, dommage que je ne me sois pas tapée l'incruste à ta table ! C'est décidé, la prochaine occasion, je la raterai pas ! Bon, sinon, magne-toi d'écrire la suite, je suis curieuse de savoir ce qu'il s'est passé ! | |
| | | ulrick Gros Bill
Association : membre Nombre de messages : 741 Age : 49 Localisation : grisolles
Feuille de personnage Jeu de Rôle: Donjon et dragon Nom du Perso: gally
| Sujet: Re: Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. Mar 20 Aoû 2013 - 11:12 | |
| ça a l'air bien sympas, la suite la suite, c'est vrais que des résumés des partie c'est agréables pour les autres, ça permet de voir par procuration ce que fond les autres | |
| | | Spinster Dragon noir du plutonium
Nombre de messages : 304 Age : 32
Feuille de personnage Jeu de Rôle: Fallout Nom du Perso: Arthur Miles
| Sujet: Re: Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. Ven 20 Sep 2013 - 23:24 | |
| Voici la suite ! o/ (Avec un peu [beaucoup] de retard)
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Une explosion de pétales de roses et un couvercle de poubelle qui tombe. Voici ce qui se passa en une dizaine de secondes d'écart. En effet, sous les yeux ébahi de William et Nicolas, le corps sur lequel ils comptaient délesté ce dernier d'un membre s'est volatilisé sous leurs yeux dans un nuage de pétales de roses, pour réapparaitre quelques mètres en arrière, un sourire sadique découpé au scalpel sur ce qui reste d'humain dans ce corps tuméfié par les évolutions génétiques et les mains en feu.
Pendant ce temps, à quelques dizaines de mètres de là, Fabrice, ayant pris peur de la Petite Sœur, tenta de se réfugier dans cette poubelle qui lui tend les bras. Malheureusement, le système d'ouverture était cassé et c'est dans un grand fracas de métal que la fillette vu la pauvre âme en panique.
- Monsieur P ! Un méchant !
Il n'en fallait pas plus pour alerter un des colosses de protection. Dans un fracas énorme, au moins deux tonnes de métal et de rage viennent se fracasser violemment contre le sol, déformant ce dernier d'au moins dix centimètres au niveau du point d'impact; la foreuse lui servant de bras droit en fonction. Rapidement, Fabrice se mit à courir pour éviter la Mort personnifiée mais trop tard, en moins d'un instant, et sous le coup d'une propulsion hors du commun, tous les rêves de ce simple clandestin, cherchant une vie à son image, sans préjugé et dans un environnement vierge de tout, furent réduit à néant par la vrille de la mort. Il fut fracassé contre le mur. Au moins une dizaine d'os craquèrent sous l'impact de l'unique coup du Monsieur P, mais quelle importance ? Il était déjà parti pour rejoindre ceux qui nous ont quitté. Il avais réussi; à sa manière, il était à présent libre.
A quelques mètres en arrière, bien loin de se préoccuper de savoir ce qu'était ce tremblement, William et Nicolas était actuellement dans un entretien particulier avec un chrôsome Houdini; "entretien" ne serai peut être pas le bon mot mais comment qualifier une partie de tir au pigeon où le chasseur lance des boules de feu plus vrai, et chaude, que nature; et où la cible, c'est vous ? Remarque, que pouvoir faire d'autre que d'esquiver quand vous n'avez pas d'arme ? En tout cas, la situation amusa beaucoup le "mage" des chrôsomes, enchainant les sphères incandescente, les arcs électriques, et les stalachites (oui, une stalachite. La stalacTite tombe, la stalacMite monte, la stalacHites fonce horizontalement vers vous dans le but de vous transformer en gruyère sortant du congélateur.). Voyant une situation funeste se profiler, Nicolas écouta cette petite folie en lui et couru de toute son âme vers la commande de la porte. Cette dernière, épaisse d'au moins trente centimètres, avec des verrou aussi épais qu'un bras, commença à suivre le long chemin de la fermeture. La pluie de feu, de glace et d'électricité ne cessant guère, Nicolas dût affronter la porte de face, et un malade en manque derrière mais ce duel n'était pas aussi difficile qu'il n'y paraît et, sous la protection éventuelle de Neptune, le sas de sécurité se ferma sans encombre, condamnant l'ennemi à être ainsi séparé de ses victimes.
Le voyage allait donc pouvoir reprendre... Mais vers quel destin ? | |
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| Sujet: Re: Bioshock - L'enfer, c'était mieux avant. | |
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