BACKGROUND LUNAR : SILIS (alias MITSURUGI CATHAK)

1° partie : "un nouvel acteur pour création"

La famille Cathak, vu naître Mitsurugi au printemps. Le petit bout de chou était le dernier des Cinq fils de Tsuruo et Garr Cathak, promis à un bel avenir dans l’armée impériale.

Son enfance était idyllique (il était le préféré de sa mère Tsuruo), il progressait vite dans le maniement des armes de mêlées et ses deux sœurs le couvaient tout autant que leurs mère. Mitsurugi bien que le plus jeunes, maniai toutes sortes d’armes de mêlées avec une dextérité rare, c’était la fierté de son père et la sienne par la même occasion. Il avait notamment un style unique au Dayklave, se qui avait fait de lui un maître à l’âge de 15 ans.

Les rapports avec ses frères étaient plutôt chaotiques. Parfois rivaux, parfois protecteurs, mais dans l’ensemble, chacun savaient quelle place ils occuperaient dans l’armée plu tard.

Lors de son 16° anniversaire, il parti rejoindre le navire impérial « L’impétueux » en tant qu’officier militaire, pour remplacer un départ en retraite. Sur le navire se trouvaient déjà deux de ses frères, Musachi le capitaine et Kintaro second. Deux ans, cinq mois et douze jours passé à sillonné les mers du nord (C’était l’affectation du navire). Il apprit la langue de l’air, grâce à l’aide de Musachi le plus âgé de ses frères présent. Les trois frères tenaient le navire d’une main de maître. Musachi et Kintaro étaient exalté de Dana tout les deux. Pour Mitsurugi, tout le monde attendaient avec impatience son exaltation.

« L’impétueux » est un trois mâts de 40 mètres de long, vaisseau de guerre rapide de l’empire, il est armé d’une baliste et les 30 hommes d’équipages avaient reçu un entrainement martial. Mitsurugi était notamment en charge de maintenir les qualités militaires de ses hommes malgré le temps passé en mer.

En se douzième jour du moi de juillet, ils aperçurent un navire de type étrange. Après avoir effectué les signaux d’usages et n’ayant obtenu aucune réponse, le capitaine lança « L’impétueux » vers le navire inconnu. La vigie aperçue du mouvement sur le pont adverse, mais celui-ci ne bougeait pas. Le navire mystérieux ne mesurait pas plus de 20 mètre de long et ne possédait qu’un mât, dont la voilure n’apparaissait pas. D’après son architecture, celui-ci ne devait pas navigué bien vite. A tribord, la côte était à peine visible, sur bâbord avant, 10 hommes et Mitsurugi se tenaient prêt à l’accostage. Arrivé a proximité, le pont du navire inconnu était désert. Tout a coup, le mât se divisa en deux, formant un « V » sur le pont du navire, une bulle (comme une bulle de savon) se forma entre les deux parties, le bois de la coque, qui visiblement n’en était pas, se déformât et tel des grappins vint se figé à la coque de « L’impétueux ». Tout c’était passé très vite, les deux navires, l’un tiré par l’autre à une vitesse incroyable, s’élancèrent plein nord. Ils n’ures le temps de réalisé se qui s’était passé que trop tard. Ils étaient entrainés vers le bout de création. S’ils ne faisaient rien ils seraient tous perdu.

Mitsurugi ordonna d’armé la baliste et de collé le navire adverse au plus vite pendant que lui et quelques hommes attacher à de solides cordes, allaient couper les grappins. Tous s’exécutèrent. Le premier tir de baliste sifflât alors qu’ils s’échinaient à coupé ces choses. Le navire étrange percé de part en part, commençait à sombré, mais pourtant il ne s’emblait pas perdre de sa vitesse. Il fallait couper ces choses infâmes qui s’accrochaient à la coque au plus vite, il en restait encore une, certain hommes ballotaient contre la coque. Mitsurugi était le plus près, il se jeta dessus et trancha d’un coup féroce la chose. Le navire étrange avait disparu sous les flots « L’impétueux » perdait déjà de la vitesse, quand une sorte de tentacule du même bois que les précédentes s’agrippa au pied droit de Mitsurugi, et l’enlaça avec force jusqu'à la corde, l’entrainant vers le fond. La corde lâcha. Il était perdu, pris au piège.

Alors que son dernier souffle s’échappait, la chose disparut comme évaporée. Tout devint étrangement calme, sûrement vivait il ses derniers instants, sans force, sous l’océan glacé. Il revit toute ça vie dans cet instant d’éternité. Puis une femme d’une beauté saisissante lui apparut, alors qu’il dérivait, elle se tenait là, comme si elle l’avait attendu durant une éternité. Elle l’enlaça et lui donna un baiser. Il ferma les yeux et sombra dans l’inconscience, heureux de connaître une fin si douce.
A sa grande surprise, il s’éveilla à nouveau au milieu d’un banc d’orque épaulard. Il cru en premier lieux, vivre une nouvelle vie. Mais pourquoi se souvenait ‘il de tout sur ça vie passée ? Au fond de l’eau, quelque chose semblai l’attirer. Il s’éloigna de ses congénères pour suivre son instinct. Il arriva tout au fond de l’océan, y découvrant l’entrée dissimulée d’une grotte. L’endroit lui paru familier, il était déjà venu. Il ne pouvait pas avancer plus loin que le grand hall dans lequel il venait de pénétré. Mais le reflet sur les murs miroitant d’une lueur étrange et reposante, lui confirmai ça forme physique. Il était désormais, un orque épaulard et malgré sa taille, il savait qu’il devait pouvoir passer les arches ciselé dans les murs de lumière. Après un moment, les lueurs changèrent, comme si elle représentait une nuit sous le clair de lune. La Dame du moment il avait sombré réapparût devant lui parla :

« Silis… tu es de nouveau éveillé en création pour me servir, moi Dame Lune, je t’exalte à nouveau de tes pouvoirs passé, afin que tu puisses guider les peuples vers un nouveau jour… »

La Dame disparut. Le reflet sur les murs n’était plus celui d’un orque épaulard, mais bien celui qu’il était auparavant, avec malgrés tout la peau et les yeux du dit animal. Désormais, il savait qu’il n’était pas mort et qu’il pouvait changer son apparence selon la situation. Une foule de souvenir de cet endroit lui vint a l’esprit. S’était ça demeure, son manoir. Passé la première arche, il n’y avait plus d’eau, il pouvait bouger comme a la surface. Dans la salle des armes il trouva son Daiklaive en argent lunaire. Le lieu était parfait, mais il savait qu’il devait le quitté afin d’accomplir son destin. Il était en réalité un de ses monstres anathèmes, dont ont parlai le soir au coin du feu. Il se devait de découvrir pourquoi : « anathème ».

Mitsurugi quitte finalement son antre pour rejoindre la côte. Celle-ci est une immense falaise de glace. Une citée majestueuse taillé dans les stalactites d’une enfractuositée gigantesque. Les plus grandes stalactites rejoignant leurs stalagmites, à la base de celle-ci, un port taillé dans le roc. Cette cité est immense, avec de nombreux étages… une merveille.
Surprise ! « L’impétueux » est amarré au ponton, sûrement pour réparé les dégâts de la dernière risque. Mitsurugi sortie de l’eau au bout du ponton en question, sous le regard ahuri des dockers, heureux de pouvoir revoir ses frères et son navire.

Musachi était en train de discuter avec un homme sur le ponton, afin de régler la note a moindre coup. Cela n’était pas facile, les gens du coin n’appartenant pas à l’empire. Il se tourna perplexe en voyant son interlocuteur s’interrompre d’un coup en fixant quelque chose dans son dos. « Qu’y a-t’il ? »

La devant lui se tenait un être dégoulinant d’eau, ressemblant à son petit frère noyé, mais sans le moindre cheveu, les yeux noirs et la peau étrange (blanche et noire). Un anathème. Il dégainat son daïklaive et se teint près au combat, quand il entendit la voix de son plus jeune frère… « Ce n’est pas possible, il est mort… »

Mitsurugi tendis ses bras pour faire une accolade à Musachi :

_ « Heureux de te revoir Musachi ! J’ai bien cru que ce ne serai plus jamais possible. »

_ « Qui es tu monstre ! Pourquoi essayes-tu de te faire passé pour mon défunt frère ? ALERTE ! UN ANATHEME ! »

Mitsurugi fût décontenancer par cette réponse et eût juste le temps de paré la frappe de Musachi. Le combat s’engageât, Mitsurugi se contentait de paré les coups, sans jamais riposté, les dockers étaient dans l’expectative. Kintaro était là lui aussi désormais. Le combat fît rage sur le quai, les dockers reprirent leurs esprits et s’armèrent, mais n’eût pas le temps de se joindre à la bataille…

Musachi et Kintaro, avait fait cesser le combat, ils avaient reconnu le style unique de leurs frère. Ils étaient abasourdis par le choc. Pourquoi le destin s’acharnait il sur eux de la sorte ?

Les dockers se jetèrent sur l’équipage, pour le mettre aux arrêts, aidé par les miliciens qui arrivaient juste.

_ « Trahison ! Comment osez-vous, nous mettre aux arrêts ? Nous sommes des seigneurs de la terre ! » cria Musachi.

_ « Trahison ? » fit le chef des miliciens. « Comment osez-vous porté la main sur un de nos dieux, dans l’enceinte même de notre cité ? Vous serez jugé pour cette infamie ! Rendez-vous ! »

Les gens s’étaient armés et massés sur les quais. Les sang de dragon, étaient sous le choc. Mitsurugi prit alors la parole :

_ « Mes frères ! Je ne permettrai pas votre arrestation ! Mais, sachez que désormais, je renais en ses terres, pour reprendre ma place en création. Je ne suis pas l’ennemi de l’empire. Bien au contraire. Et, j’ai une requête à vous soumettre. »

_ « De quoi s’agit-il ? » répondit Musachi.

_ « Comme vous pourrez le voir si vous resté ici quelques temps encore. Malgré mon apparence, je reste toujours la même personne que vous avez connue. Alors aidez-moi à comprendre pourquoi, cette seule apparence provoque colère et envie de meurtre au sein de l’empire. Je ne pourrai pas rentrer sur l’île bénie tout de suite, j’ai encore des choses à faire dans ses contrées. Je me dois de trouvé quelqu’un pour m’aidé à me protéger du Beau Peuple. »

_ « Soit ! Mais je pense que tu signeras ton arrêt de mort en te rendant sur l’île bénie. Mère sera heureuse de te savoir vivant, mais malheureuse de te savoir anathème. J’honorerai ma part et reviendrai ici pour t’informé du résultat de mes recherche. » Dit Musachi.

_ « Te protégé du Beau Peuple ! C’est quoi le Beau Peuple ? » Fit Kintaro.

_ « Le Beau Peuple… c’est comme ceux qui ont tentés de nous envoyé par le fond. Des êtres corrupteurs, qui cherches à annihilé création. Du moins si mes souvenirs sont bons. » Lui répondit Mitsurugi.

Le dialogue se poursuivit, sur le bateau entre frère. Commençant par les explications suivantes, pour finir sur un débat théologique animé qui laissa les Seigneurs de la terre dans l’expectative.

_ « Comment sais-tu tout ça ? Personne ne nous en avait jamais parlé. »

_ « Depuis que la déesse Lune à éveillé mon pouvoir endormi, des connaissances passé ont ressurgis avec. Mais, je ne me souviens que de très peu de choses en fait. C’est pour cela que me doit de trouver d’autres dieux animaux pour l’instant. Aussi mon nom divin est Silis, demi dieu et Orc épaulard, d’où Silis dieu animal. »

Les marins de « L’impétueux » ne comprenaient absolument rien a se qui se disait autour d’eux. Mais, ils savaient que s’ils n’étaient pas faits prisonniers, c’était grâce à l’aide de leur ancien officier militaire. Ils se remirent donc à la tache, pour les réparations de « L’impétueux ».

Le peuple du nord, dit Aslante, vouait bel et bien un culte aux dieux animaux. Et, Silis était l’un d’entre eux.

Une foi les réparations terminé, « L’impétueux » reprit la mer pour l’île bénie. Arrivé au port d’attache, Musachi fit son rapport aux instances supérieures de la citée. Il inscrivit la vérité dans celui-ci, tout en gardant quelques flous sur les évènements passé sur le territoire Aslante.
Silis, lui, partit encore plus au nord, toujours en longeant la côte.

2° partie : "des côtes agitées"

Un jour, il arriva prêt d’un village de pêcheur qui avait l’air bien agité. Il s’approcha. A ça grande surprise une petite fille se jeta sur lui, puis se cacha derrière lui.

_ « Que t’arrive t’il petite ? »

_ « Aidez-moi ! » fit-elle, alors que d’autres villageois armés de bâtons se dirigeaient vers eux.

Les hommes les encerclaient.

_ « Je me nome Silis, dieu Epaulard des océans glacé. Pourquoi effrayez-vous cette enfant ? »

_ « Alors, nous sommes sauvés ! Nous devions l’offrir en sacrifice à une créature qui menace de détruire notre village et de tuer tout le monde. Mais, puisqu’un dieu est avec nous désormais… »

_ « A quoi ressemble cette créature ? »

_ « Je ne sais pas, le marchand Mayer nous a dit que son bateau avait été accosté au large de notre village et que la créature lui à demandé un enfant pour nous épargné. Allons le voir, il est le seul à l’avoir vue. »

Le petit groupe se dirigea vers le port ou mouillait un navire marchand, au côté de trois bateaux de pêche. Le marchant attendait sur le ponton avec quelques marins. Ils discutèrent un instant et finirent par embarquer sur le navire. Silis devrait livrer bataille à cette créature.

Cela faisait vingt minutes qu’ils étaient partis, que Silis remarqua un changement d’attitude, en tant qu’ancien militaire de la marine impériale, il s’avait que ce n’était pas de bonne augure.

Un combat s’en suivit entre les marins et Silis. Mais, ceux-ci n’eurent pas l’effet de surprise souhaité. Ils payèrent cher d’avoir sous estimé leur ôte. Mayer voyant tout ses hommes morts en quelques instants, s’agenouilla et se mît a supplié pour sa vie. Silis l’emmena dans sa cabine et commença à lire les divers documents. Se marchand traitait avec la guilde, du poisson et ressemant du trafic d’esclave. Alors il se souvint d’un pouvoir, lui permettant de volé les apparences des gens.

_ « Rassure toi Mayer. Je vais te sauvé de la guilde, tu n’as plus à t’inquiéter pour ton futur. »

Silis lança une Blood Heart sur le marchand. Après avoir volé la vie et les propriétés de Mayer, il descendit dans les cales. Des enfants étaient enfermés dans des cages. Il les libéra tous et leur expliqua se qui venait de se passé. Que lui, Mayer, avait été aidé par un dieu afin de vaincre la créature et que désormais ils pourraient rentrés chez eux.

_ « Les enfants ! Vous allez m’aidé à manœuvré se navire vers les côtes ! Alors vous pourrez rentrer chez vous. »

Le commerce de Mayer était désormais uniquement diriger vers l’intérieur des terres, il avait coupé les ponts avec la guilde en se débarrassant du navire en échange d’un convoi terrestre et de quelques hommes. De temps en temps Mayer fait son apparition afin de faire prospérer son entreprise marchande. Cela pris une année. Durant cette même année Silis fit une autre Blood Heart, sur un pygargue à tête blanche.

Par la suite, les affaires ayant été lancées, Silis pris la route de sa caravane laissant l’identité de Mayer vagabonder dans les terres pour trouver de nouveau marché.

"Dans les terres glacés"

En cours d'écriture