Aély - Pillow: Ton univers impitoyable

Premier scénario joué à la convention Interclubs (2/3 mai 2008).

Genre: maison (contemporain)
Bienvenue à Pillow, Halloween dans la Maine - par SophieOneKenobee.
Scénar dans un monde maison appeler "Aély", système basé sur une série de runes jetées et interprétées.

Mise en place : Octobre 1966, petit village tranquille, retiré au fond des bois près d’un lac, Pillow est un lieu de paix et d’harmonie, sans histoires (mouais, on ne dira rien !). Il a été fondé en 1866 par la famille Murlock, autour d’une entreprise forestière, la Murlock INC. Cette année, on fête le centenaire du village, dans trois jours, pour Halloween. Pillow est sur une île asse grande pour abriter une vaste forêt et un grand lac, celle-ci faisant partie d’un archipel.

Les personnages importants : George Murlock, Hilda Murlock (la femme de George), Ewan Murlock (leurs fils), Jack Jarlow, Janet Jarlow (la femme de Jack), Cindy Jarlow (leurs filles), Steven grady un journaliste (allias Oscar Mac Murphy, fils d’un truand de Seattle) et le serviteur de la famille (dont je ne me souviens pas du nom, je vais donc l’appeler : le valet).

J’incarnais George Murlock, je vais donc approfondir son Back Ground.
50 ans, héritier de la famille Murlock, il est à la tête de l’entreprise d’exploitation forestière qui a fait la fortune de la famille et qui alimente le village. Il fête en même temps ses 50 ans et les 100 ans de Pillow, ainsi que les 100 ans de l’entreprise Murlock INC. Il est Marié à Hilda (Jarlow) depuis 32 ans. Ensembles, ils ont eu Ewan, leur seul enfant. Ce petit con de chéri à sa maman a 22 ans et s’est mis en tête de partir à Seattle faire des études d’architecte… Malgré tout le mépris qu’il accorde à ce projet, George a été soulagé du départ de son fils. En effet, il aurait été bien en peine de lui apprendre toutes les ficelles de l’entreprise, comme son propre père avait fait avec lui auparavant… En effet, George n’aurait pour rien au monde voulu montrer à son fils la comptabilité de l’entreprise censée être si florissant (se salle gosse parle trop) : la Murlock INC est au bord de la faillite et lui seul le sait… Il est victime de chantage, ce qui a fait un gros trou dans les finances, le tout associé à quelques erreurs de jugement… Il est marié à Hilda par arrangement, plus que par amour, pour des histoires qui le dépassait un peu. Il a toujours été amoureux de Janet, elle-même mariée de dépit à Jack Jarlow, le frère d’Hilda et contremaître sur le chantier forestier. Lorsque Georges avait 25 ans, en cachette, il retrouvait Janet (ne pouvant se passer l’un de l’autre). Leur ami Everett Loney les couvrait, leur servant d’alibi. Hélas, un soir, en revenant d’une de leurs escapades, George perdit le contrôle de la voiture, qui s’écrasa en contrebas après avoir fait plusieurs tonneaux. George et Janet s’extirpèrent de l’épave, mais Everett était mort. Pris de panique, ils le mirent en position de conducteur et s’enfuirent comme des lâches. Huit mois et demi plus tard, Janet mettait au monde l’adorable Cindy. La petite fille est le portrait craché de sa mère (heureusement !), en plus angélique encore. Georges s’est souvent demandé si cette petite ne pourrait pas être sa fille, mais Janet était déjà mariée avec Jack à l’époque et bon… ils ne se sont presque plus parlé depuis se soir-là, mort de honte et de désespoir. Ils s’aiment pourtant toujours tendrement mais ils évitent de se retrouver seul depuis le drame. C’est à propos de la mort d’Everett et de sa relation avec Janet qu’on le fait chanter depuis 5 ans déjà… Le temps de ruiner le noyau familial…

Start of the game… [en italique se que mon personnage ne sait pas.]
Ce soir, mon « cher fils » rentre, pour la fête. Je suis dans mon bureau et gère mes comptes. Je prévois de créer une filiale de pêcheurs, afin d’améliorer les finances (en effet il y a de grands lac et l’océan pas loin). Hilda est surement en train de guetter l’autre par la fenêtre.
Ha ! J’entends Hilda s’agiter, Ewan est sûrement arriver, pfff…. M’en fou je continu mon boulot, c’est plus important. Je suis agacé par le miaulement d’une multitude de chats. Ça fait longtemps que l’on n’a pas fait de battu, ils sont trop nombreux c’est insupportable. Ewan passe a mon bureau me souhaité le bonjour (j’aurai pu m’en passé). La, je lui dis : « Bonjour Ewan, puisque tu es la… demain matin tu chasseras ses salles bêtes avec moi et Bob ». Ça a l’air de l’ennuyer (il est pénible ce gosse), du coup, j’en rajoute : « Et tu aideras ta mère pour le repas de se soir ». (Bob c’est le gars que j’ai mis à la tête des forces de l’ordre de Pillow, il n’est pas aidé le pauvre.)
Ewan et Hilda s’arrange pour que le sale gosse fasse se qu’il veut cet après-midi. Il fonce voir Cindy qui est la coiffeuse du village. Ils sont tout les deux amoureux et Hilda fait tout pour les rapprocher l’un de l’autre. Hilda s’incruste dans leur conversation et invite Cindy pour le repas du soir.
Je descends pour le repas du soir, une bonne surprise, Cindy est là. Au fil des allusions faite à table je comprends ce qui se trame entre Ewan et Cindy (c’est intolérable, Cindy mérite mieux que ça). Ils essayent de négocié la partie de chasse de Ewan demain matin. « Non ! Ça fait longtemps que je n’ai pas chassé avec mon fils ! ». Je campe sur mes positions avec cette excuse bidon, comme si ça me faisais plaisir de me trainer ce boulet. L’ambiance n’est plus au beau fixe, mais au moins j’épargne Cindy, elle est jeune et ne sait pas se quelle fait. Notre valet est exceptionnel, il a toujours tout ce qu’on lui demande dans la seconde, je détourne la conversation… fin du repas, je raccompagne Cindy sur le pas de la porte et envoie Ewan se coucher.

La nuit, je dors mal à cause des chats. J’entends du bruit dans la demeure. Je me lève et vais voir se qu’il se passe (il faut savoir que le manoir à trois étages, le 1° réservé à Hilda, le 2° à Ewan et le 3° plus le grenier m’est réservé. Et oui on fait chambre à part, en plus séparer par un étage). Je m’aperçois que ma femme sort de sa salle de bain… il est 2 heures du matin, qu’est-ce qu’elle fabrique ? Je ne me dévoile pas et pénètre la salle de bain. Là, je ne vois rien de spécial si se n’est que ses chaussures sont pleines de boue. « La salope elle me trompe ! » Non pas que se soit grave, pour ce qu’on fait ensemble… mais il ne faudrait pas que je me retrouve avec un autre chantage sur les bras.
Le lendemain matin, je réveille Ewan pour ne pas qu’il s’échappe et au petit déjeuné, il fait une remarque sur l’agitation de la nuit précédente. J’en profite pour tiré les vers du nez d’Hilda. Elle se trouve pour excuse, le bruit qui l’empêche de dormir et donc le besoin de marché à l’extérieur. Moai bof, je vais admettre pour l’instant. On fini par partir chercher Bob pour chasser le chat sauvage. Là, la vieille bégaude du village m’interpelle : « Démon ! Arrêtez ce massacre ! Vous êtes la lie de Pillow ! ». « Mais oui ! C’est ça ! Ces chats sont une plaie pour le village vieille folle ! »Lui dis-je.
Je suis sauvé par l’intervention de Cindy, qui sait parler à cette plaie ambulante. Elle pense avoir l’air crédible en plus avec son collier de têtes de crevettes. La chasse se poursuit fort bien.

La nuit suivante, je dors mieux, mais il y a encore trop de chat sauvage.
J moins 1, tout se passe moyen, j’ai du mal à séparer Ewan de Cindy, ça devient problématique. Ewan me présente Steven Grady un journaliste qui vient pour la fête de demain.
Ewan connait Steven sous ça véritable identité. En effet celui-ci a cumulé des dettes de jeu à Seattle auprès de la famille Mac Murphy, une dette de 10 000 dollars, qu’ils comptent m’extorquer.
Je reçois le dit journaliste et l’emmène a la chasse avec moi, pour discuter tranquillement. Celui-ci est étrange on dirait que je lui fais peur. Pendant la chasse (en plein bourg), Janet arrive au manoir Murlock et demande à me voir. Elle est reçu froidement par Hilda, qui fini par lui dire que je suis parti chasser. Les gens sont calfeutrés chez eux, par habitude des chasses au félin. Nous déambulons donc tranquillement dans les rues faisant carton sur carton au moindre bruit. Janet déboule dans notre dos, je me retourne et tire… le drame, je viens d’abattre la femme que j’aime, je cherche d’abord à contacter un docteur en envoyant Steven, mais celui-ci me dit qu’il est trop tard, je suis au bord du gouffre. Lorsque Steven s’est penché sur Janet, celle-ci lui donna deux enveloppes en disant « Georges ».Tout le monde commence à s’agglutiner, l’homme inébranlable que je suis perd pied. Autour de moi, les remarques fusent, sans pourtant être accusatrice ( ?). Bob arrive et constate le décès : « Et ben... au moins elle n’a pas eu le temps de souffrir ! » « M. Murlock est un bon tireur ! » « C’est dommage ! Mais les accidents de chasse… ça arrive ! ». Cindy arrive et constate les fait, elle devient folle et est la seule avec Hilda a réagir normalement, en m’accusant. Je rentre au manoir, et m’installe à mon bureau avec une bouteille de bourbon.

Steven est désigné pour préparé le corps à la veillé mortuaire, Jack arrive, regarde Cindy hystérique, la gifle pour la calmer et prend le chemin du manoir avec sa hache de bucheron à la main. Hilda est déjà rentrée à la maison à se moment la, Jack la regarde et lui demande ou je me trouve, celle-ci effrayé ne répond pas…
J’entends du bruit en bas et reconnais la voix de Jack, il me cherche. Je l’aiguille à mon bureau. Il entre, ma femme est à la porte, même si elle se cache, je sais qu’elle est la. Il me regarde, je suis livide, non pas par peur, je me demande encore si la vie vaut encore le coup. Il me dit : « Tu n’as pas fait exprès ! » Je ne réponds pas. « Oui ! Je sais que tu n’a pas fais exprès, tu l’aimais trop. Maintenant, prends tes responsabilités ! Je ne m’occuperai plus de ta fille, je sais depuis le début que se n’est pas ma fille. Je ne peux pas avoir d’enfants. » Le choc, mes doutes à propos de Cindy… elle est bien ma fille. Comment faire avec elle maintenant que j’ai tué ça mère.

(A se moment la. Je pense que le scénar est du type Dallas. C’est original de faire dans le drame familial)

End of the game:

Jack repart et moi je bois pour digérer tout ça.
Hilda se rend compte qu’elle poussait son fils vers sa demi sœur. Et décide d’y remédier. Elle part pour la retrouver et du même coup retrouver Ewan. Ils se retrouvent chez les Jarlow. Là, Bernadette, le travelo qui a débarqué l’an passé dans le village déboule et leurs fait tout un numéro pour son élection a Miss Pillow qui aura lieu demain, visiblement la seule personne qui ne sait pas se qui s’est passé. Cindy désire être seule un moment et s’enferme dans sa chambre. Bernadette fini par repartir, Hilda prépare une boisson pour Cindy, Ewan et elle-même. Elle ne parvient pas à faire ouvrir sa porte a Cindy. Elle boit avec Ewan, puis rentre à la maison. Elle perd connaissance devant la maison, réveillée un moment plus tard par le valet à l’intérieur. Ewan lui aussi perd connaissance et Cindy fini par sortir de sa chambre pour constater que son aimé est dans les vapes et qu’elle n’arrive pas a le réveiller. Elle le prend et s’enfuit.
Pendant ce temps, Steven viens me voir et me présente les lettres de Janet. La première confirme notre amour caché, la 2° explique que Cindy est bien ma fille. Je l’en remercie et lui propose un fusil pour chassé dans les bois cette fois (je reprends du poil de la bête). Je ne peux pas me laissé abattre. Steven est pas rassuré, mais viens quand même. On discute de l’incident et on se met d’accord pour qu’il ne publie pas cette histoire dans son journal (Je profite du fait qu’il est peur de moi pour faire passé la pilule sans argent, en lui parlant de pêche dans le lac, ou les poissons prolifèrent. "On entretien bien le lac pour, justement, que les poissons prolifèrent".) On continue la chasse, je me sens mieux. Steven voit Cindy avec Ewan dans les bras, s’élancer dans les bois. Il m’en fait part et on les accoste. Cindy n’est visiblement pas calmée. Hilda était à leur trousse, on se retrouve tous dans le bois. Je passe discrètement les lettres a Steven en lui demandant de les faire passer à Cindy lorsqu’elle sera rentrée chez elle. Je parviens à calmer tout le monde et à convaincre Cindy de rentrer chez elle pendant que je m’occupe d’Ewan avec sa mère.
C’était trop beau, il fallait que ça merde. A se moment la, on entend des tambours imposer leurs rythmes à la nature, venant du village. Cindy s’enfuit. Les autres et moi-même, décidons d’aller voir se qu’il se passe. Tout les habitants du village nous encerclent, pendant que certain jouent du tambour autour de la place du village, avec pour chef de cérémonie le valet, qui s’avance vers nous avec un sourire malsain. Je sens que se qu’il se passe n’est pas bon, il sous-entend qu’il va débarrasser le village de notre présence. Je pense a le braquer avec mon fusil, mais celui-ci, je ne sais comment, est en sa possession ainsi que le fusil de Steven. (Ça pue !) Nous sommes conduits dans la maison des Jarlow et enfermés avec le corps de Janet. La nuit tombe, les tambours résonnent toujours, les villageois patrouilles pendant que d’autre dressent un bucher sur la place. On est en train de démonter la fenêtre pour s’échapper quand Cindy ouvre la porte et nous entraine hors de la maison par un petit passage secret qui mène à la cave, puis a un soupirail. Nous courons dans l’obscurité du bois, on la suit, elle nous emmène à une clairière, les chats sont étranges et nous poursuivent, mais ils ne pénètrent pas la clairière. Au milieu se trouve un rocher et la Bégaude. Elle nous explique que cette pierre est un scellé qui enferme un puissant démon et que Hilda à fait un rituel qui a affaibli la barrière. Hilda s’en défend en disant qu’on lui avait dit que s’était pour faire le contraire. Je suis de cul, j’apprends que ma femme est une apprentie sorcière et qu’en plus elle est mauvaise. La vieille poursuit, disant que moi le fils du démon, je ne suis pas le mieux placé pour la critiquer. Alors, j’ai l’idée du siècle. Les légendes racontent que pour Bannir un démon il faut le renvoyer en prononçant son nom (c’est stupide, mais si ça peu les rassurer…). Je demande alors à la vieille aux crevettes, si elle connaît le nom du démon. Elle me dit oui, il s’appelle Murlock. (Ça y est elle est repartie dans son délire, en même temps, il y a beaucoup de monde qui ont se délire dans le coin. Je commence à me poser des questions.) Elle nous explique l’histoire du village et le pacte qui lie la famille Murlock au démon et nous désigne chacun comme les acteurs d’une prophétie, Steven se retrouve être l’incarnation de l’innocence et sa véritable identité est révélée, ainsi que le fait que Cindy soit ma fille. Hilda me fait le reproche d’être le fils du démon. La vieille voyant ça, disparait dans un éclat lumineux, suivie d’une foudre qui frape dans le village. Je perds patience. « OK ! Puisque je suis le fils du démon, je vais régler cette histoire avec le valet ! » Je ramasse un gros bâton et repars vers le village (et oui ! George pète un câble !). Cindy négocie avec les chats pour qu’ils nous laissent passer (elle parle au chat !?!!...)

Tous décident de faire quelque chose eux aussi du coup. Cindy fonce chez elle et ressort avec les trucs pour arroser la tête des gens avec de l’eau, puis m’emboite le pas. J’arrive au portail de ma demeure. Il y a 5 gars qui gardes le portail et 5 autres avec des Hallebardes que personnes n’a jamais vu a Pillow de toutes sa vie. Fou de rage je donne un grand coup tournant avec mon bâton, étalant 3 gars d’un coup. Les 2 autres aux extrémités se retrouvent paralysés par les jets d’eau de Cindy (J’hallucine ! Mais je ne cherche pas à comprendre). Oscar (Steven) qui se trouvait non loin de l’un d’eux se retrouve paralysé aussi. Mis en confiance et toujours fou de rage, je fonce sur ceux armés de hallebardes. Par chance, ils ne savent pas s’en servir et sont trop près du mur, le combat est tout de même un peu plus long. Cindy reçoit un coup du manche dans l’estomac et je suis blessé à l’épaule gauche, se qui me rend d’autant plus enragé. Hilda se jette sur la porte et reçoit un bon choc électrique (Haha ! Merci de m’avoir évité ça !). Je fracasse une porte fenêtre avec une Hallebarde et reprend mon bâton. On se rue à l’intérieur… personne. Hilda suivie de Ewan et Oscar vont à la cuisine, récupérer un fusil qu’Hilda avait planquée et faire des potions. Moi, je fonce vers la cave, soutenu par Cindy (ça fait chaud au cœur, d’avoir une fille aimante).
On fini par tomber sur le valet dans la cave, celui-ci est au milieu d’un pentacle sans cercle extérieur, il a des griffes a la main droite et s’est entaillé les avant bras. Il psalmodie. Je me jette dessus ivre de colère pour m’apercevoir que j’ai du mal à avancé sur le pentacle et que le bâton explose avant d’atteindre le valet. L’eau de Cindy ne l’atteint pas. Tout s’enchaine, je prend du sang de ma blessure et le jette sur le pentacle en disant : « Reconnais ton fils Murlock ! » (Pensant bien sûr, que s’était pour l’invocation du démon). Ça marche ! Je suis de plus en plus perdu dans mon propre délire. Ma fille, sort un Cucri et le lance sur le valet pendant que je le charge, il le renvoi d’un geste au moment ou j’essaye de le rattraper (étonné qu’une arme passe). Je me retrouve devant le valet avec le Cucri planté dans la main, je rabats ma main vers moi, la lame vers le valet et fini ma charge. Il tombe dans un râle alors qu’Hilda et les autres arrivent. Toujours pris par ma folie, tendis que le sang du valet se répand autour de moi. Je m’arrache le Cucri et commence à faire un cercle autour du pentacle en explosant d’un rire hystérique. Oscar m’assomme avant que je n’ai le temps de finir le cercle.

Quand je reprends mes esprits, on ressort de la demeure pour se rendre à la pierre de la clairière. Sur la route, on constate qu’une femme est en train de brûler sur le bucher et hurle de douleur. Oscar, pris de pitié prend le fusil et tire, abrégeant ses souffrances. Nous sommes alors obligés d’accéléré le pas, car des villageois nous poursuivent. Les chats son toujours là, ils ont des yeux anormaux et nous poursuivent aussi. Les villageois, eux, n’y échappent pas.
Hilda, une fois sur place, nous donne des potions en disant : « Avec ça on pourra voir l’immatériel et donc refermé la porte avant qu’il ne soit trop tard. »Les chats ne pénètrent pas la clairière. On boit… Cindy et Ewan sont pris dessuite dans un trip, tandis que Oscar et moi-même nous tordons de douleur. Hilda égorge Cindy, répandant son sang sur la pierre et le faisant boire à Ewan qui s’éveille direct après. Oscar est a l’agonie, mais moi … petit à petit le mal disparait, tandis qu’Ewan se transforme en Dragon noir sous les yeux ravies d’Hilda. Je me relève pour voir Ewan sous le coup de sa nouvelle forme laisser le démon dévoré son âme et Hilda se faire éclaté d’un revers de la patte. Il mesure plus de 10 mètres de haut. Il se retourne vers moi, mes yeux sont brillant d’une lueur rouge, il me crache du feu afin d’éprouver sa force. Je tend mon bras vers le jet de flamme, toutes les flammes convergent vers la pomme de ma main et disparaissent lorsque je ferme mon poing (au grand soulagement d’Oscar qui est à mes pieds.
« Je suis le lien qui te permet de rester dans se monde, tu ne peux donc rien contre moi ! Ce monde sera notre désormais !»

Xototh qui nous pond un pavé c'est rare et mérite donc notre intéret.
mais malgré ça je n'arrive pas à le lire tellement la mise en page est imbuvable.

dommage ça doit être intéressant à lire vue tout ce qu'il a écrit.

J'ai copié un fichié Word, mais ça prend que le texte et le rendu, je voi pas comment l'amélioré pour l'instant j'ai juste grossie les carractère. Je reste ouvert à tout conseil pour l'amélioré.

Mais pas grave, je vais post les 2 suivant scénar dans la semaine si pas de contre temps

des retour à la ligne ainsi que quelque saut de ligne supplémentaire pour aéré le texte ça aiderai.

voir même des titres aux paragraphes comme ça quand on ne lit pas tout d'une traite on sait a quel passage on a fait une halte.

Lorsque j'ai joué à ce scénar, j'incarnais Hilda. Pour ma part, j'ignorais tout des liens de parentés entre Cyndi et mon mari.

Vers la fin du scénar :
Alors que Cindy était sur le bucher, je l'ai délivrée avec l'aide de mon fils Ewan. Etant devenue sa "sauveuse", elle me suivait partout, j'en faisais ce que je voulais ; de plus, j'étais comme une mère pour elle... me forçant à écouter ses problèmes futiles d'adolescente écervelée. Et mon fils, qui était tout pour moi (incarnation d'un amour qui ne m'était pas donné par mon mari), me vouait une confiance absolue.
Je les ai alors amenés sur la colline, leur ayant dit que c'était le seul endroit où ils seraient en sécurité. Une fois près de la pierre, je m'adresse à mon fils : "Dis-moi chéri, tu as confiance en ta maman n'est-ce pas ?" -"Biensûr Maman". Je lui demande alors de se tourner et de se boucher les oreilles. Je m'approche de la pierre et accomplis le rituel en égorgeant Cindy. Je me rapproche d'Ewan et lui ordonne de boire ce qu'il ne savait pas être le sang de l'idiote petite vierge.
C'est alors qu'il avale une gorgée puis recrache un peu du brevage... mais il était déjà trop tard. J'avais mon dragon serviteur, ainsi que toute la puissance nécessaire pour asservir le monde sous mon joug...
Mais avant, j'avais une vengeance à accomplir. Mon très cher mari adoré, qui m'avait trompé avec cette abrutie de Janet, allait connaître la douleur provoquée par le souffle brulant d'un fils qu'il a toujours renié...

C'était marrant de lire l'évolution du scénar de votre côté ^^

Sympa ce scénar' Une fin violente et mégalo bien comme il faut.
:mage:

J'ai retouché la mise en forme, ayant mis quelques espaces et réduit de nouveau la taille (qui ne changeait pas grand chose). De plus, j'ai vraiment mis les passages en italique pour les moments non connu par ton perso.