Sabbat Montréal [by Axiae]

Il était une fois, Julian, Anatole, Lydia et Remaël. Quatre sabbats qui ne faisaient partie d'aucune meutes. Ils non-vivaient à Montréal ou venaient d'y débarquer. Alors qu'ils pensaient non-vivre dans l’opulence et faire leur non-vie tranquille, ils durent se rencontrer et faire équipe pour former tant bien que mal la meute des enfants du rasoir (nom a valider). Venez bravez gens, venez écouter leur histoire et tremblez pauvre mortels face au sabbat :

La convocation était tomber, rien d'étonnant, aucun évêque digne de ce nom ne prendrait le risque de laisser des sabbat solitaire. Le Sabbat doit être unis, c'est ça plus grande force face à l’oppression des anciens de la Camarilla. Les caïnites se rendent à la porte Nord de la ville et quitte les murs protecteurs pour s'enfoncer dans la forêt inquiétante où des bruissements supposent la présence de prédateurs, grizzlis ou lupins ? Allez savoir. Le sentier débouche sur une clairière où les ruine de La Petite Miséricorde, chapelle qui a brûler quelques nuits plus tôt, offre le spectacle d'une battisse en ruine et de sont cimetière dont les tombes ont toutes étées retournés, comme si les morts étaient sorties de leur retraite.

A peine ont-ils le temps de s'imprégner de l'ambiance, qu'ils se rendent compte qu'une dizaine d'autres caïnites sont là aussi. Tous répondent présent à l'appel de la future meute. Alexandro Domingo, accueil la foule avec toute la bonté qu'il éprouve envers des frères du Sabbat. Il les invite à prendre place autour du feu. Un moins que rien, incapable de contrôler sa bête, fuit face aux flammes. La larve n'a pas le temps de faire dix mètre que sa tête se détache de son corps. Un ange noir, distribuant la mort du bout de ses ailes noires refuse de laisser passer la lacheter.

Pour certains c'est une première, ils assistent à une messe du Sabbat. En bon prêtre sur la voie de Caïn, Domingo parle des enseignements de Caïn ouvre les yeux des jeunes. Puis, après un office des plus impressionnant pour les jeunes, le prêtre les guides dans l’Église où ils vont rencontrer leur future « mère ».

Sur son trône fait de bois calciné, d'os et de chaire, Vasilicia, maîtresse incontestée de la nuit, déesse des morts, joue négligemment avec un crâne sur le sol lorsqu'elle semble enfin se rendre compte de la présence des caïnites. Quand elle leur parle, elle les traitent de la même façon qu'ils l'ont été lorsqu'il étaient de simple tête de pioche, à peine sorti de la terre après avoir dévorer les plus faibles. Comme des moins que rein, des lécheurs, des morts, même pas des non-morts. Ainsi elle leur montre qu'elle tien dans la paume de sa main leur existence. Vasilicia leur offre, généreusement deux semaines pour qu'ils lui prouvent qu'ils sont dignes d'enter dans sa meute.

Après avoir été encadré à l’extrême pendant se début de nuit, les voilà livrés à eux-même sans aucunes indications et avec un ange noir prêt à les décapité au moindre faux pas. Mais ils ne se laissent pas démonter pour autant.

Lydia connaît le cirque de Zarnovich de réputation et sait qu'ils aiment taquiner les camaristes de Montréal. Alors les quatre sabbats suivies de trois autres qu'ils ne connaissent pas se rendent au vieux port et assiste aux jeux du Polonais Maciej, les jeux du feu de son infante, le défilé de ses goules mi-enfants mi-animaux, les démonstration de Goliath... Puis, mentalement brisés, les humains fuient le plus loin possible cette vision infernale du cirque.

Embusqués, les frères attendent l'arrivé de la patrouille camariste, qui met plusieurs heures avant d'être sur place. Bien sûr, le cirque a déjà disparut. Remaël s'engage courageusement ans un combat contre un primogène, tendis qu'Anatole est aux prises avec un rat d’égout et Julian s'attaque aux deux autres. Pendant se temps Lydia attend le bon moment pour intervenir avec ses sorts. Le combat est rude pour le salubrien et le pander, mais trois camaristes sont détruits et le primogène est capturé. Après être transformé en homme tronc, ils le ramène dans l’établissement d'Anatole.

La nuit suivante, la troupe ramène la prise à Vasilicia pensant lui prouver qu'ils ont réussit haut la main le teste. Il s’avère que se n'est pas se qu'elle attendait, mais imperturbable, amusée et curieuse de voir comment la troupe assumera la destruction d'un primogène camariste, elle décide de former sa future meute avec ces jeunes là. Après tout, il ont l'air un peut trop gentils pour survivre à la dure Nuit, ils ont besoin d'être éduquer et elle est là pour s'en charger, voilà qui pourrait tromper sont ennuie, du moins pendant un temps...

Alors d’Ezequiel est envoyé surveiller les groupe, Ockam le nosferatus antitribu de la meute a lui aussi pour mission de veiller un groupe. Mary-Louise, pander, Vincente, malkavian antitribu directeur d’une maison d’aliéné et gourou de sa secte et William Wonka, toreador antitribu célébre confiseur de Montréal.
Ces trois là, eurent l’idée de conduire les camaristes à enfreindre eux-mêmes leurs traditions. Se rendant à Mont-Royal, ils trouvent un couple de vampire en chasse, tenaillé par la faim. Grâce aux pouvoirs que lui a donné Malkave et Caïn lui-même, Vincente exaspère leur faim. Poussant leur Bête à surgir et à provoquer un véritable massacre. Les humains hurlent au cannibalisme et William a l’idée de courir chercher un journaliste pour qu’il atteste de la scène dans sa gazette du lendemain.

Or, à leur retour sur les lieux, des vampires tout de noir vêtues sont déjà là pour faire le ménage. Mry-Louise et Vincente ont quitté les lieux, mais le confiseur ne se laisse pas démonter et incite le journaliste à prendre une photographie des gens morts et des humains qui les dévorent.

L’équipe t’intervention camariste, fini par détruire leur frères puis fait disparaitre les traces du carnage. Mais ils sont interrompus par le flash de l’appareil photo. Vif comme l’éclair, le confiseur macabre récupère l’appareil et fille se cacher dans son refuge, laissant derrière lui le journaliste qui l’a reconnue. Les ombres noires se jettent sur l’humain et l’interrogent, apprenant ainsi qui est la personne à l’origine du dérapage.

Les yeux de Vasilicia suivent le confiseur, contient de son erreur, et veut lui donner une petite leçon, ainsi sont ceux qui suivent la voie de Lilithe. Dans la boutique où s’est réfugié le dégénéré, il l’attaque à coup de couteau. Juste une fois, juste une, cette seule fois qui suffit pour dire qu’il a échoué. Et tout ça en étant invisible aux yeux de tous.

Le fou, rejoint William et tous deux attendent que les choses se calmes, alors qu’au contraire l’équipe d’intervention est sur leurs traces et ne tarderons pas à les retrouver. Maris-louise fini par arriver elle aussi et William lui confi l’appareil. Maintenant qu’ils sont réunis, l’équipe d’intervention peut enfin passer à l’action. Ils sont attaqués par la porte principale. Pensant être sauvé par la porte de derrière, ils se rendent compte qu’ils sont en fait encerclé. Certains se battent, d’autres fuient.

Leur ange gardien décide de leur prêter main forte. Dans la cohue, l’appareil est détruit, ainsi que la preuve du bris de mascarade. Alors qu’ils sont dépassés par le nombre et par la puissance, Ezekiel stoppe les affrontements. Permettant ainsi aux jeunes sabbats de fuir en sécurité.

La pander en profite pour retourner au prêt de Vasilicia, malheureusement se qu’elle lui dit ne plait pas à la ductus, qui punis la jeune caïnite et l’oblige à passer le reste de la nuit et de la journée sur place. Pourtant Ockam fait un rapport satisfaisant sur les trois caïnites, ou plutôt juste assez passable pour qu’elle puisse les accepter, car la meute doit être formé à tout pris cette nuit. Elle aura tout le temps après de se défaire de ceux qui sont trop encombrant.

Ainsi commence le rite de création de la meute. Ockam déplace le bénitié sous la cascade, le Alexandro et Vasilicia accompagne les nouveaux en haut de la formation rocheuse. Après un psaume du prêtre, tous font couler leur sang dans le vide, puis ils retournent en bas. Le lassombra commence alors le rite de meute. Il fait se déshabiller toutes les personnes présentes, Ockam est le premier à s’avancer. Avec une lame de rasoir, il lui ouvre la peau du menton au nombril et deux fois horizontalement sur chaque pec, puis il est baptisé dans le bain de sang. Ainsi le nosferatu anti tribut montre l’exemple, ainsi tous l’imitent.

Le festin sanglant peut commencer. Les ombres se retirent, découvrant les futures victimes, vampires et humaine, crucifier la tête en bas. Cette fois c’est la Ductus qui leur montre la voie. Elle s’empare d’une lame de rasoir et bois sur une des victimes, puis laiche la plaie pour la faire cicatriser. Les jeunes observent et apprennent vite.

Alors que le festin devient un massacre où chacun se laisse aller à sa folie, Ockam, lance un rite de danse du feu. Entrainés par le rythme envoutant d’Alexandro, suivie tant bien que mal par Marie-Louise, la meute tourne autour des flammes. Une fois la trance atteinte, certain se lance majestueusement, oubliant leur peur du feu, alors que d’autres plus craintifs sautent rapidement puis s’éloignent. Pousser par son égo, Ezekiel marche doucement pour impressionner les jeunes. Pousser par son envie d’assoir sa supériorité, Vasilicia pousse le vice jusqu’à s’arrêter dans les flammes.

Ainsi s’achève la nuit, ainsi la meute est formée, dans le temps imparti par l’archevêque, impatient de rencontrer les nouvelles recrues…

Attirait dans les terres sauvages par une force obscure, le gangrel urbain s’enfonce dans les bois, toujours plus profondément, guidé par la Bête. Sa meilleure amie depuis son étreinte. Il traque une proie, acculée dans une grotte, il sait qu’elle ne s’en sortira pas. Mais qui est la proie ? Il ne se rend compte que le vrai prédateur ne chasse pas, mais attire à lui sa proie. Grâce à ses yeux luisant, il distingue vaguement les parois de la caverne. Droite, gauche, son odorant le guide. Toujours plus loin dans les ténèbres. Jusqu’au moment où le sol se dérobe sous ses pieds. Une chute terrifiante qui se termine dans un lac sous-terrain.

Sur la rive une faible lumière attire Zeloss, poussait par un instinct nouveau, celui de la bête sauvage. Sa Bête à pourtant toujours était urbaine. Se dissimuler puis attaquer rapidement pour tuer. Mais cette nuit c’est la nature qui l’appel. Le même appel que celui qui pousse ses cousins gangrels à égorger et à foncer de face, sans se cacher puis que de toute façon il est indestructible. Face à lui, lui-même. Le même, des bras et des jambes anormalement allongés et une voix féminine. La sombre mère, lui parle. Elle lui parle de lui, elle le connait bien mieux que lui, car elle voie au plus profond des gens et c’est pour cela qu’elle prend leur apparence. Elle devient ainsi, le reflet et dévoile tout.

C’est elle qui décide si un fils de la Bête est digne ou non d’entrer dans la meute des Blood Foot. Et Zeloss n’est pas digne. Il est un gangrel urbain, et les Blood Foot n’acceptent pas ses méthodes et ses disciplines, mais la Sombre Mère voie une chose. Quelque chose qui rend ce gangrel prometteur. Par télépathie, elle demande au Sombre Père, son créateur l’autorisation de lui offrir sa lame. Le père aimant accorde ce souhait à sa fille. C’est alors qu’il fait son entrée. Déchirant les entrailles de sa fille pour mettre à nue l’épée d’os.

Immense démon, sans cornes, à la peau rouge et dure. Trois paires de bras et dans jambes semblables à des pattes de reptile. Des yeux jaunes luisants et un visage vaguement humain malgré les crocs. Il prend conscience du caïnite devant lui. Drago sait pertinemment que Zeloss ne fera pas partie de sa « famille », mais il a là l’occasion de payer une dette qu’il a envers l’une de ses sœurs. Il sait que la meute des enfants du rasoir n’ont que très peut de combattants. Alors Dagon offre un combattant à sa sœur et sa dette est effacée.

Voila une nouvelle recrue que Vasilicia doit accepter, et s’il y a bien quelque chose qu’elle ne supporte pas, c’est qu’on lui impose quoi que soit. Bien forcer de reconnaitre que face à Drago, elle n’a d’autres choix que de laisser cette dette s’envoler. Après tout un membre du clan de la bête est une carte de choix. Soit, alors.

La mère des enfants du rasoir sonne le rassemblement, alors que la meute avait cartier libre pour la nuit. Et pendant que le prêtre de la meute discute avec Zaloss, l’ange de la meute les retrouve dans la cave de l’établissement d’Anatol, où ils se livraient à des plaisirs. Récompense bien mérité pour fêter leur entrée dans la meute. Mais de courte durée. Ainsi la veille de la présentation aux meutes importantes de Montréal, les enfants du rasoir n’ont pas le temps de faire un rite d’intégration. Mais malgré ça, ils souhaitent la bienvenue à ce nouveau membre.

La nuit suivante, la meute choisie d’arriver plus tôt sur le lieu de rendez-vous, mais les autres meutes sont arrivés encore plus tôt. Les cinq meutes présentes ont formé un pentacle avec leur feu. Bien sur ce symbole ne signifie rien pour le Sabbat, mais le Sabbat est taquin et par cet acte, les meutes montrent qu’elles ne comptent pas la nouvelle meut comme l’un des leurs. Pour autant Vasilicia ne de démonte pas et pose le feu de sa meut au centre de pentacle. Egale à elle-même, elle est et reste une provocatrice. Pourtant personne ne dit quoi que se soit.

La meute installée, les ductus viennent un à un présenter ses respects à la nouvelle meute : Frére Ignace des Bergers de Caïn, Zarnocivh Maciej du Cirque de Zarnocich,  Carlyle des Misérables,  De Soto Santiago des Navigateurs et Chasseur de Tête des Blood Foot. Après, les enfants du rasoirs s’accorde le loisir de faire connaissance avec les meutes. La sagesse des Bergers de caïn, l’étrange du Cirques, la folie des misérables et de l’homme tronc, jeux et le sang de lupin des Navigateurs et le franc parlé des Blood Foot.

Alors que Zeloss assiste à un rite dans le cercle des Blood Foot, une européenne, faisant contraste avec le reste de la meute, une slave pour être plus précis, semble apparaitre. Tout à fait accepté dans la meute pourtant si fermé d’indiens. Cette femme se révèle être la templière nouvellement institué de l’archevête.

En son nom, elle salut la meute, qui vient d’être formé. Et lui donne sa toute première mission. Vailicia, ne peut pas refuser la mission elle le sait, si elle veut que sa meute soit reconnue en tant que telle. Mais la templière à déjà fait l’erreur de surestimer les membres du sabbat et sa à couté l’existence à touts les membres de son ancienne meute. La chasse d’un lupin n’est pas chose aisé, surtout pour une meute de jeunes. Ezekiel part traquer la proie, pendant que la nuit s’achève.

La nuit suivante, Ezekiel à acculer l’erreur de la nature dans une maison de pierre dans une clairière.  Vasilicia choisie d’offrir un cadeau de guerre à deux de ses guerriers : une armure d’os à Zeloss et une à William. Les jeunes entrent dans la maison qui ne possède aucunes fenêtres. La seule ouverture se trouve être la cheminé d’où la pleine lune éclaire faiblement les miroirs qui recouvrent touts les murs, mais aucunes traces du lupin.

Pourtant une fois qu’ils sont tous entré dans la maison, le monstre passe à l’attaque. Mais pas comme une bête sauvage dénuée d’esprit. Non, elle Sort des miroirs justes le temps de frapper avant de disparaitre de nouveau.  Malheureusement les vampires ne sont pas conçus pour se battre contre cette race précise de lupins. Car il s’agit là d’un théurge. Un lupin non violent, qui passe plus de temps dans un monde parallèle inconnu de tous, que sur les champs de batailles. Ils sont moins puissants sur le plan physique, mais ils préfèrent se cacher dans l’autre monde. Malgré leur non-violence, ils ont la même haine des vampires que leurs cousins et n’hésitent pas à attaquer les caïnites.

Willian se trouve dans une position plus que désespérante,  alors que la meute à décidé de détruire tout les miroirs. Pourtant quand Vasilicia, alerté par les cris de ses frères de meutes, se rue à l’intérieur, elle agit juste assez vite pour empêcher le lupin, à moitié sorti des éclats de miroirs de se saisir de Zeloss, qui s’était placer au dessus de Willam pour le protéger de son corps. La ductus, prend la place du gangrel urbain, et est attirer dans le miroir avec le lupin.

Puis plus rien, la panique laisse place au calme plat. Plus un bruit et Vasilicia à disparue.

Après une courte pose, où le prêtre de la meute explique à la meute qu’il existe un moyen de ramener leur chère mère et que pour ça, il faut qu’ils aillent en Italie ; La meute se met en route pour New Yorck, où elle trouvera un bateau direction l’Europe. Mais le prêtre ainsi que quelques membres de la meute, reste ici, pour protéger les lieux. Le prêtre scelle la maison avec une vieille magie lassombra.

A New York, la meute rencontre l’archevêque Polonia, qui s’avère être un être froid et strict. Mais il leur indique tout de même un bateau tenu par Angelo D’Andolo, un brujah Vénitien issue d’une famille marchande. A l’entrée du bateau, le garde du corps du capitaine : Helléodia, une gangrel accompagnée d’un loup français, les accueille froidement, mais elle est juste très pro dans son genre. Des ongles noir et pointus, elle ne cligne pas des yeux, et visiblement c’est elle qui attire les corbeaux  au dessus du port. A bord, Maria Malaga De Saragosse, portant une bourca en soie noire, Berdardinus, un nosferatu en tabar de l’ordre de saint Lazard et Targ, un slave. Tous des caïnites, tous des indépendant. Voila qui les conduit à Venise, pour un long, très long voyage.

Pendant les cinquante nuits de traversés, les frères de meutes, profite du trajet, pour renforcer leurs liens au sein de la meute. Ils se formes les uns les autres, aides ceux de clans différents à appréhender de nouveaux pouvoir.
HRP : tout ça se traduira par une réductions des coups en XP de compétence et de disciplines. FIN HRP

Alors que Séraphine, apprend à Williame à tirer, celui-ci tire accidentellement sur un membre de l'équipage. Par change, aucuns vampire de l'équipage ne s'en rend compte. Il embarque le pauvre homme dans la Cambuse pour le soigner. Heureusement, la balle n'est pas rester dans la chaire. Subjugué par la beauté du marin, le confiseur, cède à ses pulsions... Zeloss, recherche les enseignements d'une ancienne gangrelle, chez Eléodia. Remaël demande des conseils à son sir...

Ils font enfin escale au Portugal, terre camariste. Pour quelques nuits, le temps que le capitaine fasse à nouveau le plein de vivre. Dès le premier soir, le Salubrien qui était resté calmement à étudier dans sa cabine est pris soudain par une envie de chasser. Il sort donc du bateau et se met à traquer une proie bien plus consistante qu'un mortel. Enfin,la piste d'un vampire attire son attention. Il le traque et le débusque. Après un combat dont il sort victorieux, il assimile l'âme du caïnite.

Le lendemain, le reste de la meute se met en tête d’effectuer leur première chasse ensemble. Ils tombent sur sur un couple de vampire au fond d'une ruelle. Alors que le gengrel décide de rester en retrait, le malkavian pousser par Caïn lui-même ne peut se résoudre à laisser le vampire mâle à qui que se soit. La meute, encore jeune, ne se méfie pas suffisamment de voir deux vampires comploté dans une ruelle sombre, ils tentent une approche par bluff en se faisant passer pour des camaristes. Cela aurais put fonctionner si Séraphine n'avait pas l'apparence d'une enfant, car chez les camaristes, les vampires-enfants, sont détruits ainsi que leur sire. Les deux caïnites en face, ne sont pas dupes, un groupe de plus de trois vampires est déjà suspect, mais là, ils sont cinq, une force non-négligeable. Révélant leur nature d'Assamites, ils retournent la situation à leur avantage. Heureusement, Ezekiel n'est jamais bien loin du groupe et veille sur ses jeunes frères. Et alors que le malkavian perd la tête et se jette sur l'un des assamites, l'ange l'enveloppe de sa cape et lui chuchote une phrase à l'oreille qui le plonge en catatonie. Il propose aux deux vampires de réparer le tor fait par ses frères, car tel est son rôle. Et pendant que le reste de la meute retourne au bateau, il subit le châtiment

Lorsque qu'il revient, il est considérablement affaiblie, et ruisselant de sang...

Le lendemain, Ezekiel rassemble toute la meute.

« Deux choses. La première, je vous ai laissé agir à votre guise pendant 50 nuits, je vous ai observé et pas un à aucun moment n’a évoqué le souhait de rassembler la meute, dans un rite de meute. Je vous rappel une chose. NOUS SOMMES UNE MEUTE ! Et une meute, ne peux être une meute que si elle se rassemble en des rites. Vous êtes jeunes et c’est pour ça que je vais vous donner une chance de vous racheter grâce à un rite de contrition. Ce qui me mène à mon deuxième point : Il est intolérable qu’un de nos frères de meute mette toute la meute en danger pour cause qu’il ne contrôle pas ses pulsions. Voila votre rite de contrition, je lance une chasse sauvage sur notre ancienne sœur Séraphine. »

La sentence est rude, mais juste et pour certain même elle est trop douce. La meute doit chasser l’une des leur. La malkav possède quelques précieuses minutes pour fuir dans la ville est mettre en place une stratégie pour si se n’est survivre à la chasse, au moins entrainer quelques un de ses frères dans sa chute. Elle prévient les matelots quelle a enrôlé dans sa secte. Leur guide est en danger, ils la suivent donc pour la protéger. Ensemble, ils mettent en place un plant destiné à piéger la meute dans une embuscade.

Au même moment, le reste de la meute se ressemble dans la calle du bateau, Monsieur Anatole D. Addams, invoque la puissance de son sang, cadeau inestimable de Caïn et convoque son ancienne sœur de clan.

Séraphine n’a d’autre choix que de suivre l’appel. Alors sur le chemin, elle prépare sa défense. Avant d’entrer dans la calle, elle met immole deux des hommes qui la protège. Les deux boules de feux entre dans la calle en courant et se dirigent droit sur Anatole se trouvant sur leur chemin. La meute se remet de la vision de leur ennemie naturel fonçant sur eux, sauf Marie-Louise sous forme de démon, qui trop effrayé par cette vision se réfugie tout au fond du bateau. La meute abat les deux hommes et William fonce dans le couloir pour s’attaquer à son ancienne sœur.

Mais se sont trois hommes armés qui l’accueillent en lui tirant dessus. Touché, blessé, mais toujours en possession de ses moyen, pousse l’un des trois à la fuite, et tue littéralement de peur un deuxième. Le troisième résiste et tire sa deuxième balle. Le toreador est sauvé par Addams et sa lame. Quand a Séraphine, elle se fait assommer par Marie-Louise qui a fini par reprendre ses esprits.

La malkavianne maîtrisé, Ezékiel vient approuver le travail de la meute, et leur laisse le soin d’expliquer au capitaine brujah, comment cinq de ses matelots sont mort. Tâche dont s’acquittent le ventrue et la petite toreadeur, bien que William ne facilite pas leur tache.

Le bateau quitte enfin le Portugal pour les deux dernières semaines de voyage. Pendant ces deux semaines, la petite tore montre qu’elle a apprit sa leçon et organise un rite d’hommage à Caïn. William somme le capitaine de lui enseigner l’une de ses disciplines, il résulte de cette altercation la frénésie du capitaine et la mort par décapsulation du toreador. En même temps, sa sœur de clan entre en frénésie suite à une dispute avec un autre membre de la meute, mais elle est stoppée par son frère ventrue.

Enfin, le bateau arrive à bon port.

Venise de nuit :

La meute finie par trouver le palais de la grande et puissante famille Giovanni. Un zombie les conduit dans un boudoir, pendant qu’un vampire les annonce au près de la représentante du clan : Isabella Giovanni. La présence de ce mort-vivant met mal à l’aise le pieux brujah. Mais n’est-il pas lui-même un cadavre doué d’une seconde existence ?

Enfin, Isabella les reçoit. Malheureusement pour la meute, la pander commence à trouver le temps long, et prend la parole. Ainsi, elle révèle le but de leur venue sans omettre aucun détail. Chose que certains auraient préféré cacher ou filtrer. Ivre d’informations, Isabella veut prendre le temps de digérer celles-ci et offre hospitalité à la meute, ainsi qu’un magnifique banquet. Lors du quel, chaque membre de la meute découvre la famille et clan Giovanni.

Les enfants du rasoirs, vont devoir négocier avec le clan le plus marchand de a Famille...